I- Comment repérer un édulcorant ?
Nous avons supposé que c'était indiqué sur les emballages des produits concernés.
Après observation de différents produits sucrés et quelques recherches nous pouvons conclure que :
les édulcorants autorisés par chaque pays reçoivent un nom de code commençant par «E» suivi de trois chiffres.
Ce code doit obligatoirement figurer sur l'étiquette du produit.
II- Comment sont-ils classés?
Les édulcorants sont-ils classés selon leur pouvoir sucrant?
Les édulcorants sont divisés en deux groupes : les édulcorants dits « hypocaloriques » ou « de charge » et les édulcorants intenses.
· Qu’est-ce qu’un édulcorant dit "hypocalorique"?
Les édulcorants dits hypocaloriques sont des glucides non digestibles obtenus à partir de végétaux ou par hydrogénation de sucres.
Il y a, d’après nos recherches, beaucoup de sucres dans ce groupe, on peut en relever :
- le sorbitol de code E420
- le mannitol de code E421
- et le xylitol de code E937
Ils ont pour caractéristique d’avoir un fort pouvoir sucrant, évalué par rapport au saccharose, inférieur à 1.20 et supérieur à 0.3.
De plus ils sont moins caloriques avec un apport énergétique moyen de 2 Kcal/g contre 4 Kcal/g pour le saccharose, d’où le nom d’hypocalorique.
· Qu’est-ce qu’un édulcorant dit "intense" ?
Un édulcorant dit "intense" est souvent composé d’éléments chimiques très divers, non glucidiques, obtenus par synthèse ou par extraction végétale. Ils ont un pouvoir sucrant très élevé également: entre 25 à 13 000 fois celui du saccharose.
Ils ont un autre avantage, un apport calorique nul ou très faible dû à la très faible quantité utilisée.
Tableau issu de la revue Parph re d'octobre 2013:
Nous avons supposé que c'était indiqué sur les emballages des produits concernés.
Après observation de différents produits sucrés et quelques recherches nous pouvons conclure que :
les édulcorants autorisés par chaque pays reçoivent un nom de code commençant par «E» suivi de trois chiffres.
Ce code doit obligatoirement figurer sur l'étiquette du produit.
II- Comment sont-ils classés?
Les édulcorants sont-ils classés selon leur pouvoir sucrant?
Les édulcorants sont divisés en deux groupes : les édulcorants dits « hypocaloriques » ou « de charge » et les édulcorants intenses.
· Qu’est-ce qu’un édulcorant dit "hypocalorique"?
Les édulcorants dits hypocaloriques sont des glucides non digestibles obtenus à partir de végétaux ou par hydrogénation de sucres.
Il y a, d’après nos recherches, beaucoup de sucres dans ce groupe, on peut en relever :
- le sorbitol de code E420
- le mannitol de code E421
- et le xylitol de code E937
Ils ont pour caractéristique d’avoir un fort pouvoir sucrant, évalué par rapport au saccharose, inférieur à 1.20 et supérieur à 0.3.
De plus ils sont moins caloriques avec un apport énergétique moyen de 2 Kcal/g contre 4 Kcal/g pour le saccharose, d’où le nom d’hypocalorique.
· Qu’est-ce qu’un édulcorant dit "intense" ?
Un édulcorant dit "intense" est souvent composé d’éléments chimiques très divers, non glucidiques, obtenus par synthèse ou par extraction végétale. Ils ont un pouvoir sucrant très élevé également: entre 25 à 13 000 fois celui du saccharose.
Ils ont un autre avantage, un apport calorique nul ou très faible dû à la très faible quantité utilisée.
Tableau issu de la revue Parph re d'octobre 2013:
III- Avantages et inconvénients des édulcorants:
Les personnes diabétiques ou souffrant de surpoids peuvent remplacer le sucre par des édulcorants pour en diminuer leur consommation.
- Nous avons cherché les avantages des édulcorants:
Les personnes diabétiques ou souffrant de surpoids peuvent remplacer le sucre par des édulcorants pour en diminuer leur consommation.
- Nous avons ensuite cherché quels sont les inconvénients des édulcorants.
Dans certains cas, les polyols (faisant partie des édulcorants intenses) ne sont pas absorbés au niveau digestif, ils fermentent au niveau des intestins. Lorsqu'ils sont consommés en grande quantité, ils peuvent provoquer des ballonnements, des flatulences et des diarrhées.
On peut noter qu'aucun problème sanitaire n'a été détecté même s'ils font souvent l'objet de mises en cause. Aucune étude ne prouve les relations entre la consommation d’édulcorant de synthèse et l'apparition d'effets indésirables ou plus graves ( maux de tête, épilepsie, cancers...)
D'après une étude publiée dans l'"Américan Journal of Clinical Nutrition", portant sur 60 000 femmes enceintes il existerait cependant un lien entre leur consommation d'Aspartame notamment et un accouchement prématuré.
Nous avons aussi trouvé que l'Autorité européenne réévaluera les édulcorants d'ici 2020.